Sandrine Lacasse-Taillefer est une jeune fille de 21 ans, sortant du couvant ou elle a passé plus de la moitié de sa vie. Elle est enfin libre ,avide de connaître le vrai monde, celui qui s'offre enfin à elle, de l'autre côté de ces grandes portes de métal. Elle se démarque avec sa longue chevelure d'ébène ainsi que ses yeux couleurs d'émeraude.
Sandrine est grande et élancée mais est totalement inconsciente de sa beauté. Elle a toujours été passionnée par les chevaux, et aimerait avoir sa propre écurie.
Son grand secret: C'est sa belle-mère qui l'a envoyée au couvent à l'âge de 9 ans. Sandrine l'a vue assassiner froidement son père pour sa fortune. Sandrine du se taire suite aux menaces de la belle-mère de tuer également sa mère, une pauvre gitane un peu folle, qui parcourt le monde pour illustrer ses théories sur la fin du monde.
Scénario :
Sandrine Lacasse-Taillefer sort tout juste du couvent St-Sulphure, totalement insouciante. D’ailleurs, elle a trouvé Philippe de la Durantay et Pierre-Antoine Comtois tout à fait charmants lors de la dernière soirée bénéfice et a accepté avec empressement l’invitation de visiter les écuries Comtois. Elle n’y voit d’ailleurs aucune intention maligne derrière ces compliments et ces invitations. Lors de la visite des écuries, Sandrine rencontre Edouard, le fils héritier. Jeune élégant, fougueux, un brin ténébreux et légèrement fantasque, elle en tombe éperdument amoureuse. C’est le coup de foudre saisissant pour les deux tourtereaux. En dépit des semonces de Comtois père, Edouard voit en cachette cette jeune fille si belle si pure mais provenant d’une famille à mille lieues du gratin grosmontois.
Indices :
- Sandrine fut très flattée par les compliments de Philippe de la Durantay lors de la soirée bénéfice au couvent St-Sulphure même si elle trouvait Mme de la Durantay plutôt glaciale. Et elle sait pertinemment que malgré les avances, les billets et les rencontres fortuites, il ne s’est jamais rien passé avec Philippe de la Durantay. En effet, ce dernier a vite constaté la passion qui la dévorait pour le jeune Comtois. Il en va de même pour Pierre-Antoine Comtois.
- Edouard lui a révélé, sur l’oreiller, le comportement étrange et fascinant de son institutrice Mlle Ijjynie Glyver. Il semblerait qu’elle organiserait des soirées où elle inviterait de jeunes garçons pour se livrer à des jeux sexuels.
