Elle s'appelle Ijjine ....elle a 30 ans les yeux couleur de la mer
une chevelure abondante dans le brun noir ....ce qui fait qu'elle ne passe pas inapeçue devant certains garçons du lycée. Chose certaine les démons qui la hantent ce n'est pas l'inceste. Mais pour l'instant je chercher encore comment l'apprivoiser
l'histoire. Elle a toujours vécu avec son père dominateur manipulateur ...elle devait être soumise mais ce matin je me demande si plutôt d'être méchante, elle n'est pas doucereuse et déséquilibré.
Son rituel entre son père et elle ...elle a toujours aimé ça, quand je dis les démons qui la hantent c'est qu'elle ne peut le reproduire dans sa vie active parce qu'elle aimait ça
elle a besoin de ça pour vivre et c'est malsain, on ne voit pas ça tous les jours dans le sens que son père lui demandait et de s'habiller comme sa propre mère à lui et de le faire manger ce qui me vient à l'esprit ce matin ou bien de lui faire prendre son bain
en étant professeur elle se choisit certains garçons du lycée pour continuer son rituel ...dans le genre qu'elle les fait habillé comme son père juqu'au jour rentre en jeu le charmant Dimitri
Scénario :
Mlle Ijjynie Glyver œuvre en tant que professeur de français au réputé Lycée Les Madeleine. Institutrice de renom, elle enseigne aux adolescents issus du gratin grosmontois dont Édouard Comtois. Elle semble très appréciée par le corps professoral pour ses compétences pédagogiques notamment auprès des plus jeunes garçons qu’elle parvient à se passionner pour la littérature et ce, malgré son comportement étrange qui créé un malaise sans qu’on puisse le définir. Elle connaît bien d’ailleurs les Comtois puisque le père d’Édouard, Pierre-Antoine, la rencontre régulièrement pour suivre attentivement les progrès académiques et les mesures disciplinaires appliquées à son rebelle de fils.
Indices :
- De retour de son travail, Mlle Glyver fut surprise de constater la voiture de M. Comtois garée dans le stationnement de la tante qui vient fraîchement d’accueillir Sandrine Lacasse-Taillefer tout juste sortie du couvent St-Sulphure. Il faut dire que la tante de la jeune et belle Sandrine, habite à un coin de rue de Mlle Glyver.
- Dans le couloir menant à son bureau, Mlle Glyver surprit une conversation entre M. Comtois et, croit-elle, M. de la Durantay. Elle ne comprit que l’exclamation suivante : « Tabarn***, faut que tu m’aides ost*** pour la faire taire!!! ». Elle fut d’autant plus étonnée que M. de la Durantay n’a pas d’enfant, du moins , pas d’enfant connu fréquentant le Lycée. Mais elle est presque certaine qu’il s’agissait bien de M. de la Durantay puisqu’elle l’a déjà vu photographié dans le journal local lors de la coupe de polo grosmontoise, il était le coéquipier de Comtois.
